A la famille Tordet.
Décembre 2008
Quand force sera d’agir il nous faudra
Salir la rose fanant du matin.
Pour dénouer cet obscur destin,
Qui est que notre ne peut rester là.
Et lorsque l’espoir du jour aura été assimilé,
Ta piété descendante s’épanouira
A en faner les forces escomptées,
Afin que toujours elles puissent se rappeler.
Qu’il n’est autre force que l’aspiration humaine.
Et que minorité puisse changer,
Au-delà de ce qu’eu pu prévoir le destin.
Nous n’admettrons plus de continuer,
De nos rêves, d’où se tisse la liberté,
De tirer les forces pour y retourner.